vendredi 24 juin 2016

Va voir comme ça

 

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jeudi 26 avril 2012

Le Pissenlit

Nom commun : dent-de-lion. Fleurs : à partir de fin Mars / début avril
Ce sont des plantes vivaces, de plein soleil ou mi-ombre, à racine charnue pénétrant profondément dans le sol (plus de 50 cm), ce qui leur permet de résister au gel intense des régions froides (Russie, Canada). Dans ces régions, la partie aérienne meurt à la fin de l'automne, mais repousse dès la fonte des neiges, et la floraison survient une vingtaine de jours après la repousse ; une autre floraison de moindre importance se produit parfois en fin d'été.

Propriétés et utilisations

Plante très mellifère. Ses jeunes feuilles peuvent être utilisées en salade avec des croûtons, des oeufs, des morceaux de fromage... Une fois cuites elles peuvent remplacer les épinards, ou compléter certaines soupes. Les boutons de fleurs peuvent être utilisés en remplacement des pointes d'asperges. Les racines grillées peuvent être un bon substitut du café. Autrefois les fleurs entraient dans la coloration du beurre. Ses propriétés médicinales ne sont plus à prouver : dépurative, diurétique, laxative, revitalisante, tonique, cholagogue.

Le pissenlit a principalement été utilisé pour traiter les troubles du foie et de la vésicule biliaire, mais aussi en cas d'anémie, de fièvre, de rétention d'eau, de rhumatismes, de problèmes rénaux et cutanés. En Chine, on emploie la variété Taraxacum mongolicum depuis très longtemps pour traiter l’hépatite, le cancer, diverses affections de la glande mammaire (inflammation, mauvais écoulement du lait maternel, cancer du sein) ainsi que pour améliorer la résistance immunitaire aux infections des voies respiratoires. L’usage du pissenlit est reconnu dans de nombreuses pharmacopées officielles (Inde, Autriche, République tchèque, Grande-Bretagne, Allemagne) et il a déjà fait partie de la pharmacopée américaine.

 Sources :

lundi 14 mars 2011

Vie et mort du 2ème essaim

Rude, rude pour un début...
Il y a à peu prés un mois, février 2011, crac, constat du décès du deux. essaim. De loin tout allait pour le mieux, les butineuses sortaient se nettoyer par les belles journées hivernales. De prés... La ruche etait entrain de se faire piller tout bonnement. N'ayant pas reconnu mes abeilles (Buckfast origine) j'ai vite vérifié et là...

Cause inconnue. J'ai cherché, vérifié mais globalement je ne trouve pas la cause de cet effondrement. Pas de culture dans le coin, ni de pesticides (en abondance en tt cas). Mis à part les jardiniers amateurs de ci de là qui pourraient le cas échéant "tuer" qq moucherons... Pas de traces du fameux frelon asiatique. Quelques varroas mais bon pas de quoi fouetter un chat (j'ai pas traité "contre"). D'aprés la littérature apicole et les symptômes décrits concernant les loques (américaines et européennes) ce n'est pas ça non plus.

Reste tout ce miel non operculé que j'ai trouvé !! la ruche etait sur 3 éléments et on peut dire qu'il y avait au moins le quart, voire plus de miel non operculé ! à quoi est-ce dû ? mystère. Enfin, il y a un début d'explication que j'ai trouvé en fouillant à gauche et à droite, notamment sur le forum des Warréistes : fin Août et début d'automne, suivant qq conseils j'ai nourri au sirop de miel. Environ 1.5 l. Qui a disparu en qq jours. Il semblerait que les "filles" après l'avoir stocké aient eu un mal de chien à en faire descendre le taux de flotte (qui doit être entre 15 et 18% je crois) afin d'operculer. Ce stock de miel liquide vieillissant il deviendrait toxique pour elles (et impropre à la consommation itou). Voilà où j'en suis resté. Je vais en référer aux pros du forum cité plus haut afin d'avoir leur avis là dessus... Queques photos :
cadre entier : couvain au centre, miel et pollen
couvain

Test de l'allumette : ne correspond pas aux diff. loques (pas d'odeur, ne s'étire pas...)
Abondance de miel non operculé
Récup. miel : à peu prés 3L et qq
Si des passants passent par là, prêts à m'offrir leur éclairage (ou à proposer des essaims ;)) je suis preneur !

mardi 15 juin 2010

Ruche 2 et 2ème essaim

Deuxième essaim acheté chez un apiculteur des environs d'Annonay. Souche Buckfast cette fois-ci. Réputées plus douces, plus productrices, moins essaimeuses, plus ceci, plus cela.

Prises le samedi 12 juin 2010 vers 21h30 à Annonay. Zone protégée. Tout va bien. Elles sont sur cadres Warré (et non barettes).Très populeuse (rien à voir avec l'essaim 1) et hausse rempli à craquer, jeune Reine de l'année (donc qq mois seulement).

Conseil de l'api : agrandir dès que possible, risque d'essaimage sinon (trop à l'etroit).
Arrivé à destination vers 23h. Les abeilles attendront le lendemain matin pour pose définitive à l'emplacement (JourJ). Laissé la ruche sans toit sur conseil de l'api (trop de chaleur sinon). Et forte aération.

JourJ : Pose définitive. Pose du coussin et libération de avettes. Pose quasi immédiate dans la foulée d'une hausse par le bas. C'est super lourd, je sue de partout. En nage. Appréhension du débutant. Quelques écrasements à la pose : une 30taine d'abeilles (?). Mini cérémonie constatée (deuil) ?

Chants entendus : la reine (essaimage en vue ?), les faux-bourdons ? début de barbe (essaimage en vue bis ?) par l'un des trous d'aération (brr).


Visite de l'après midi Jour J par ma compagne : plus de barbe, activité intense, beau temps. C'est ok visiblement. La pose de la hausse a décourager un essaimage éventuel.

Observation J+2 : visite vers 17h sans enfumoir et ss ouverture bien sur par temps pluvieux (de merde), humidité, froid pour un mois de Juin. C'est incroyable, les buck ont littéralement envahi le corps rajouté (par le bas), elles s'affairent dessus. Activité normale aux trous vu le temps. Bref tout va bien. Si ça continue comme ça, dans une semaine va falloir rajouter encore un corps ?

Ruche 1 et premier essaim

Premier essaim acheté chez un apiculteur du coin. Récupéré le jeudi 10 Juin 2010 le soir vers 20h30/21 h. Pose lieu définitif le lendemain matin (jour J). Issu d'une ruche existante (Dadant). Donc certainement vieille Reine. Petit essaim, semble fragile. Souche "noire". A bati 5 ou 6 barettes (pas jusqu'en bas). Dans son coin, floraison des acacias. Ici on est entre 2 : fin des cerisiers/merisers/pommiers et presque début (on est en retard vu le temps de cette année) des chataigniers/frênes/tilleuls. Les genêts par contre explosent de partout.
L'apiculteur l'a nourri volontiers pour l'encourager à bâtir et à le stimuler avant livraison. Avec du sucre Candi, qu'il a mis dans la ruche. Cf photo ci-haut. Cela doit faire à peu de choses près de 3 semaines qu'il est dans cette ruche (que j'avais posé chez l'api).

Constat : l'Api a enlevé le coussin ("ça ne sert à rien et ça attire les fourmis"). Bon. Effectivement dans le sous cadre, présence de petites fourmis noires. Est-ce le coussin ou tout ce sucre déversé dans la ruche ? à suivre...

Ruche en place le lendemain :
Inconvénients de l'emplacement : sous bois, lumière plus faible, humidité + importante.
Avantages : + protégé de la pluie, du vent et du soleil, "coin sauvage"...

J+1 :
Observations : Les butineuses se sont réveillées et reviennent chargés de pollen, activité au trou d'envol.
J'avais remis le coussin à la pose et plus de petites fourmis noires MAIS des grandes à leur place.


Opération du jour : 
hausse posé de côté afin d'enlever tout le sucre candi laissé dans le fond par l'api vendeur (sur le plateau). Je pense qu'elles n'ont pas plus besoin de cette merde cochonnerie maintenant. On verra bien. Ne jamais dire jamais. Et le souci c'est que au vu des prévisions météo, la semaine s'annonce très humide et froide. Autour des 12 à 15 °C. Pour un mois de juin...

Questions / à surveiller : nourrir or not. Cette histoire de fourmis. Après recherches à droite et à gauche, certains disent que les uns et les autres s'entendent bien et que la présence de fourmis est même bénéfique (?!) car dégagent de l'acide formique, néfaste au varroa et nettoient les résidus et autres merdouilles autour de la ruche. A voir, à suivre, à vérifier...

Obsrvation/visite à J +4 : touti va béné.

mardi 1 juin 2010

Reine des prés

Filipendula_ulmaria1.jpg


Courant Mai - fleurs début Juin
La reine-des-prés ou fausse spirée (Filipendula ulmaria) est une plante herbacée vivace de la famille des Rosacées, originaire de l'Europe. C'est une plante mellifère.

Elle est riche en dérivés salicylés au même titre que le saule (Salix alba) et a donné son nom à l'aspirine.
L'habitat de la spirée est les lieux humides, particulièrement au bord des cours d'eau et des fossés bordant les chemins et prairies. Elle apprécie les prairies humides, les lisières d'aulnaies ou les prés humides, d'où son nom.
Cette plante a été utilisée comme aromatisant pour les crèmes et les desserts, mais aussi les dentifrices et les boissons.
Tisanes : Fleurs et feuilles donnent une infusion agréable (Elles peuvent aussi être mises à macérer dans du vin pour le parfumer).
Propriétés: anti-inflammatoire, diurétique, sudorifique, astringente, tonique, antispasmodique, cicatrisante, antalgique, elle possède aussi des propriétés digestives
* Les feuilles et les fleurs sont diurétiques, fébrifuges,antispasmodiques et antirhumatismales.
* Les racines et les feuilles sont astringentes, vulnéraires et détersives.
Cette plante qui fait partie de la pharmacopée française y est autorisée en vente libre.
(via wikipedia)


Infusions :
Attention, ne jamais faire bouillir la plante car cela détruirait les salicylates. Il vaut mieux utiliser des fleurs fraîches ou séchées depuis moins d’un an. 
Elle s’utilise en infusions, 50 g de fleurs par litre d’eau bouillante. Laisser infuser 7 à 10 minutes et prendre 3 ou 4 tasses par jour. 
 Via Pharmelia